La fierté et le pouvoir
brefs se consument
quand tu es mort
mais l’ encens
cet éternel patriote qui ne grandit qu’ avec
des violons brisés
des jambes calcinées
pour le père
le président qui contrôle tout d’ une jeunesse
le tsunami révoque
l’ assassinat
et les bêtes traversent des portails simples
de l’ automne à l’ hiver
sans rien demander de regards
saqués par des pétales qui réfléchissent
à comment empoisonner les tyrans
et la masse
sous la gorge gonfle
pour le plus grand territoire des farceurs
d’ une médecine ternie
cette suie qui couvre
le coeur en argent de ma muse
cette mélopée
intraduisible de distance
entre les fesses de l’ Eurasie
la merde recommence