Raccordant les cieux mystiques
la pluie brouillonne
dépend des passions
habité le malheur se développe
là où se loge
l’ amour que tu me fais
au-delà de l’ étrier
passe moi la cigarette
efface les casse-tête
on finira comme eux
majestueux
et pris à la gorge
par un virus épars
trainant sa croupe
dans une affection
véritable
et transi de froid et de pluie boueuse
je te raconterai notre naissance
brève
et à la fois indescriptible