J’ ai laissé une rose rouge sur ton crâne noir la fumée
tu penses à deux choses en même temps à travers moi et l’ arbre qui poursuit ta naissance
rejoins moi dans les violoncelles sombres et fracasse les boules de ce mélange dégueulasse de pluie de goudron et de rancoeur envers le ciel il t’ a pris
tu es là à chialer comme un misérable mais vois-tu que je cherche le sens de l’ univers et de tes fantômes