la beauté des dragons

Il y dans cette graine de cent ans un ravage. Les doutes te dévorent et tes armes fondent, laissant place à la psychiatrie d’ un âge où les chevaux balbutiaient et hoquetaient la violence de l’ âme guerrière des paladins, de leurs marteaux, des démonistes et de leurs spectres. Alors je reviens au miroir te contempler aïeul comme s’ il n’ existe qu’ un seul conflit valable frappé comme des potions de vie qui redonnent l’ altière façon dont le lierre te consume, juste. Tout juste où brille invincible, ton âme d’ armure.

L’ armure des familles et des animaux, dans les montagnes ou profond d’ océans toujours sous les liqueurs bienveillantes et la beauté des dragons.