Le fantôme se détend
dans des veines pleines
violettes de la charpie
les abats et les rosiers
qui supportent
le crime de la chaleur
ce voilier tendre m’ emmène
là où les esprits
ne craignent plus que pour l’ océan
qui berce et détruit
l’ acharnement de l’ homme
dans ses voltiges ésotériques
ce soleil
ce crachat
et nos mains désertées l’ une par l’ autre