tandis que les rats des cieux
sont déjà parmi nous et que j’ emporte leur odeur un peu plus loin
scellé par un pacte bestial
je sais que l’ argument de la mort ne m’ empêchera pas de vivre
la silhouette des crochets elle-même
le sourire
la folie
le désarroi
et les tentations
me rappellent que je suis humain
et imparfait
et celle que j’ aime
le reflet de ma mort
qui sur la pointe des pieds
tapote et susurre
sois tranquille
tu as ton talisman
tant qu’ il y aura les parfums et les yeux dans les mains
ces orbes qui transcendent la destinée d’ un homme
pour en faire le prophète d’ un écho de l’ Humanité
tu vivras
Fort et beau
Merci Julien
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merci à toi, très belle journée !
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Réveille à coup sur
celle ou celui qui ne dort pas complètement
…
[Ce texte est un esquif
loin de moi l’idée d’en isoler une partie
juste :
(Oui) tout ce qui nous menace
tout ce qui nous déséquilibre
est à mille lieu de la mort
et au contraire
est occasion de vie vraie
(c’est à dire) de survie]
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